Les deux incarnations sont l’accomplissement de la signification de l’incarnation
Chaque étape de l’œuvre faite par Dieu a sa propre signification pratique. En ce temps-là, quand Jésus est venu, Il était un homme, mais lorsque Dieu vient cette fois, Il est une femme. À partir de cela, tu peux voir que Dieu a créé l’homme ainsi que la femme pour le bien de Son œuvre et, avec Lui, il n’y a pas de distinction de genre. Lorsque Son Esprit vient, Il peut prendre chair, quelle qu’elle soit, comme Il le souhaite et cette chair peut Le représenter. Qu’elle soit homme ou femme, elle peut représenter Dieu tant qu’elle est Sa chair incarnée. Si Jésus était apparu en tant que femme quand Il est venu, en d’autres termes, si une petite fille, et non un garçon, avait été conçue par le Saint-Esprit, cette étape de l’œuvre aurait tout de même été accomplie. Si tel avait été le cas, alors l’étape actuelle de l’œuvre devrait plutôt être accomplie par un homme, mais l’œuvre serait tout de même accomplie. L’œuvre réalisée à l’une ou l’autre des étapes a la même signification ; aucune étape de l’œuvre n’est répétée ni n’entre en conflit avec l’autre. À l’époque, lorsqu’Il réalisait Son œuvre, Jésus était appelé le Fils unique et « Fils » implique le genre masculin. Alors pourquoi le Fils unique n’est-Il pas mentionné à l’étape actuelle ? La raison en est que les exigences de l’œuvre ont nécessité un changement de genre, différent de celui de Jésus. Avec Dieu, il n’y a pas de distinction de genre. Il réalise Son œuvre comme Il le désire et, en réalisant Son œuvre, Il n’est soumis à aucune restriction, mais Il est particulièrement libre. Pourtant, chaque étape de l’œuvre a sa propre signification pratique. Dieu S’est fait chair deux fois et il va de soi que Son incarnation dans les derniers jours est la dernière. Il est venu pour révéler tous Ses actes. Si, à cette étape, Il ne S’était pas fait chair personnellement pour que l’homme puisse en témoigner, l’homme s’en tiendrait toujours à la notion que Dieu est seulement un homme, pas une femme. Avant cela, toute l’humanité croyait que Dieu ne pouvait être qu’un homme et qu’une femme ne pouvait pas être appelée Dieu, car toute l’humanité considérait que l’homme avait autorité sur la femme. Elle croyait qu’aucune femme ne pouvait avoir l’autorité, mais seulement l’homme. De plus, elle disait même que l’homme était le chef de la femme et que la femme devait obéir à l’homme et ne pouvait pas le surpasser. Dans le passé, quand on disait que l’homme était le chef de la femme, cela était destiné à Adam et Ève qui avaient été tentés par le serpent, et non à l’homme et à la femme tels qu’ils avaient été créés par l’Éternel au commencement. Bien sûr, une femme doit obéir à son mari et l’aimer et un mari doit apprendre à nourrir et soutenir sa famille. Tels sont les lois et les décrets édictés par l’Éternel auxquels les hommes doivent se soumettre au cours de leur vie sur terre. L’Éternel a dit à la femme : « Tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. » Il a parlé ainsi dans le seul but que les hommes (c’est-à-dire l’homme ainsi que la femme) puissent vivre une vie normale sous la domination de l’Éternel, et dans le seul but que la vie des hommes puisse avoir une structure et ne se sombre pas dans le désordre. Par conséquent, l’Éternel a élaboré des règles appropriées aux agissements de l’homme et de la femme, mais cela ne concernait que l’ensemble des êtres créés vivant sur terre et n’avait aucun rapport avec la chair incarnée de Dieu. Comment Dieu pourrait-Il être identique à Sa création ? Ses paroles ne s’adressaient qu’à l’humanité appartenant à Sa création ; Il a établi des règles pour l’homme et la femme afin que l’humanité puisse vivre une vie normale. Au commencement, quand l’Éternel a créé l’humanité, Il a fait deux genres d’êtres humains – l’homme et la femme – et donc Sa chair incarnée a aussi été différenciée en homme et en femme. Il n’a pas décidé de Son œuvre en se basant sur les paroles qu’Il a adressées à Adam et Ève. Les deux fois où Il a pris chair ont été entièrement déterminées suivant Sa pensée à l’époque où Il a d’abord créé l’humanité, c’est-à-dire qu’Il a accompli l’œuvre de Ses deux incarnations en se basant sur l’homme et la femme avant qu’ils ne soient corrompus. Si l’humanité prenait les paroles adressées par l’Éternel à Adam et Ève qui avaient été tentés par le serpent, et les appliquait à l’œuvre de l’incarnation de Dieu, Jésus n’aurait-Il pas aussi à aimer Sa femme comme Il le devrait ? Ainsi, Dieu serait-Il toujours Dieu ? Et de ce fait, serait-Il encore capable d’accomplir Son œuvre ? Si l’incarnation de la chair de Dieu en femme était une erreur, alors la création de la femme par Dieu n’aurait-elle pas été aussi une erreur d’extrême importance ? Si l’homme croit encore qu’il serait erroné que Dieu soit incarné en femme, alors Jésus, qui ne S’est pas marié et était donc incapable d’aimer Sa femme, ne serait-Il pas autant dans l’erreur que l’incarnation actuelle ? Puisque tu utilises les paroles adressées par l’Éternel à Ève pour mesurer la vérité de l’incarnation de Dieu du jour présent, alors tu dois utiliser les paroles de l’Éternel adressées à Adam pour juger le Seigneur Jésus qui S’est fait chair dans l’ère de la Grâce. Ces deux choses ne sont-elles pas identiques ? Puisque tu prends la mesure du Seigneur Jésus d’après l’homme qui n’avait pas été tenté par le serpent, alors tu ne dois pas juger la vérité de l’incarnation d’aujourd’hui d’après la femme qui avait été tentée par le serpent. Cela serait injuste ! Si tu prononçais un tel jugement, cela prouverait que tu as perdu la raison. Lorsque l’Éternel S’est fait chair à deux reprises, le genre de Sa chair était lié à l’homme et à la femme qui n’avaient pas été tentés par le serpent ; Il S’est fait chair à deux reprises d’après l’homme et la femme qui n’avaient pas été tentés par le serpent. Ne croyez pas que la masculinité de Jésus était la même que celle d’Adam qui a été tenté par le serpent. Les deux n’ont aucun rapport et les deux hommes de nature différente. Il est certain que la masculinité de Jésus ne prouve pas qu’Il soit le chef de toutes les femmes sans être aussi celui de tous les hommes. N’est-Il pas le Roi de tous les Juifs (aussi bien les hommes que les femmes) ? Il est Dieu Lui-même, pas seulement le chef de la femme, mais aussi le chef de l’homme. Il est le Seigneur de toutes les créatures et le chef de toutes les créatures. Comment pourrais-tu déterminer la masculinité de Jésus comme étant le symbole du chef de la femme ? Cela ne serait-il pas un blasphème ? Jésus est un homme qui n’a pas été corrompu. Il est Dieu ; Il est le Christ ; Il est le Seigneur. Comment pourrait-Il être un homme comme Adam qui a été corrompu ? Jésus est la chair portée par l’Esprit très saint de Dieu. Comment pourrais-tu dire qu’Il est un Dieu qui possède la masculinité d’Adam ? Dans ce cas, toute l’œuvre de Dieu n’aurait-elle pas été erronée ? L’Éternel aurait-Il été capable d’incorporer dans Jésus la masculinité d’Adam qui a été tenté par le serpent ? L’incarnation du temps présent n’est-elle pas un autre exemple de l’œuvre de Dieu incarné qui est différent de Jésus par Son genre, mais semblable à Lui par Sa nature ? Oses-tu toujours dire que Dieu incarné ne peut pas être une femme parce que la femme a été la première à être tentée par le serpent ? Oses-tu toujours dire que, puisque la femme est très impure et qu’elle est la source de la corruption de l’humanité, Dieu ne peut absolument pas prendre chair en femme ? Oses-tu encore maintenir que « la femme doit obéir à l’homme et ne doit jamais manifester ou représenter directement Dieu » ? Tu n’as pas compris dans le passé, mais peux-tu maintenant continuer à blasphémer contre l’œuvre de Dieu, en particulier la chair incarnée de Dieu ? Si tu es incapable de voir cela en toute clarté, tu ferais mieux de tenir ta langue de peur que ta stupidité et ton ignorance ne soient révélées et ta laideur exposée. Ne crois pas que tu comprennes tout. Je te dis que tout ce que tu as vu et expérimenté est insuffisant pour que tu comprennes ne serait-ce qu’un millième de Mon plan de gestion. Alors pourquoi agis-tu de façon si arrogante ? La simple petite parcelle de talent et le savoir minimal que tu possèdes sont insuffisants à Jésus pour qu’Il les utilise, même pour une seconde de Son œuvre ! Quelle expérience as-tu réellement ? Ce que tu as vu et tout ce que tu as entendu dans ta vie et ce que tu as imaginé, tout cela est inférieur à l’œuvre que Je réalise dans l’espace d’un instant ! Tu ferais mieux de ne pas pinailler ni critiquer. Quel que soit ton degré d’arrogance, tu es simplement une créature qui ne vaut pas mieux qu’une fourmi ! Tout ce que tu possèdes dans ton ventre vaut moins que ce qu’une fourmi porte dans le sien ! Ne pense pas que le simple fait d’avoir acquis de l’expérience et de l’ancienneté t’autorise à gesticuler sauvagement et faire de beaux discours. Ton expérience et ton ancienneté ne sont-elles pas le fruit des paroles que J’ai prononcées ? Crois-tu que tu les as acquises en échange de ton propre travail et labeur ? Aujourd’hui, tu vois que Je suis devenu chair, et c’est seulement grâce à cela que tu es rempli de tels concepts si riches et que tu en as glané d’innombrables notions. Sans Mon incarnation, même si tu possédais d’extraordinaires talents, tu n’aurais pas tant de concepts ; et tes notions ne viennent-elles pas de ceux-ci ? Si Jésus ne S’était pas fait chair cette première fois, aurais-tu même une connaissance de cette incarnation ? N’est-ce pas parce que la première incarnation t’a donné la connaissance que tu as l’impudence d’essayer de juger la seconde incarnation ? Pourquoi la soumets-tu à l’étude au lieu d’être un disciple obéissant ? Quand tu es entré dans ce courant et es venu devant le Dieu incarné, t’autoriserait-Il à étudier cela ? Il est bien que tu étudies l’histoire de ta propre famille, mais si tu essaies d’étudier l’« histoire de famille de Dieu », le Dieu d’aujourd’hui t’autoriserait-Il à mener une telle étude ? N’es-tu pas aveugle ? Ne t’exposes-tu pas au mépris ?
Si seulement l’œuvre de Jésus avait été réalisée sans être complétée par l’œuvre à cette étape des derniers jours, alors l’homme s’en tiendrait pour toujours à la notion que seul Jésus est le Fils unique de Dieu, c’est-à-dire que Dieu n’a qu’un seul fils, et que, quiconque vient ensuite sous un autre nom ne serait pas le Fils unique de Dieu, encore moins Dieu Lui-même. L’homme a dans l’idée que quiconque sert de sacrifice d’expiation ou exerce le pouvoir au nom de Dieu et rachète toute l’humanité, est le Fils unique de Dieu. Certains croient que tant que Celui qui vient est un homme, Il peut être considéré comme le Fils unique de Dieu et le représentant de Dieu, et certains disent même que Jésus est le Fils de l’Éternel, Son Fils unique. N’est-ce pas une notion sérieusement exagérée par l’homme ? Si cette étape de l’œuvre n’était pas réalisée à l’ère finale, alors l’humanité entière serait dissimulée sous un voile ténébreux en ce qui a trait à Dieu. Si tel était le cas, l’homme se considérerait comme supérieur à la femme et les femmes ne seraient jamais capables de garder la tête haute, et alors pas une seule femme ne pourrait être sauvée. Les gens continuent de croire que Dieu est un homme et, de plus, qu’Il a toujours méprisé la femme et qu’Il ne lui accorderait pas le salut. Si tel était le cas, ne serait-il pas vrai que toutes les femmes, qui ont été créées par l’Éternel et qui ont aussi été corrompues, n’auraient jamais la possibilité d’être sauvées ? Alors, n’aurait-il pas été inutile pour l’Éternel d’avoir créé la femme, c’est-à-dire, d’avoir créé Ève ? Et la femme ne périrait-elle pas pour l’éternité ? Pour cette raison, cette étape de l’œuvre des derniers jours doit être entreprise afin de sauver l’humanité entière, pas simplement la femme. Si quelqu’un pensait que si Dieu allait S’incarner comme femme, ce serait seulement pour sauver la femme, alors cet homme serait vraiment un idiot !
L’œuvre réalisée à présent a fait progresser l’œuvre de l’ère de la Grâce ; c’est-à-dire que l’œuvre sous la totalité du plan de gestion de six mille ans a avancé. Bien que l’ère de la Grâce soit terminée, l’œuvre de Dieu a évolué. Pourquoi est-ce que Je ne cesse de répéter que cette étape de l’œuvre est bâtie sur l’ère de la Grâce et l’ère de la Loi ? Cela signifie que l’œuvre de ce jour est une suite de l’œuvre réalisée à l’ère de la Grâce et une avancée par rapport à celle réalisée à l’ère de la Loi. Les trois étapes sont intimement interconnectées et chaque maillon de la chaîne est fermement rattaché au suivant. Pourquoi est-ce que Je dis également que cette étape de l’œuvre est bâtie sur celle réalisée par Jésus ? En supposant que cette étape n’était pas bâtie sur l’œuvre réalisée par Jésus, une autre crucifixion devrait avoir lieu à cette étape et l’œuvre de rédemption de l’étape précédente devrait être entièrement réalisée à nouveau. Cela n’aurait aucun sens. Et ainsi, cela ne signifie pas que l’œuvre est complètement terminée, mais que l’ère a avancé et que le niveau de l’œuvre a été élevé à un niveau encore plus haut qu’avant. On peut dire que cette étape de l’œuvre est bâtie sur la fondation de l’ère de la Loi et sur le rocher de l’œuvre de Jésus. L’œuvre est bâtie étape par étape et cette étape n’est pas un nouveau départ. Seule la combinaison des trois étapes de l’œuvre peut être considérée comme étant le plan de gestion de six mille ans. L’œuvre de cette étape est réalisée sur la fondation de l’œuvre de l’ère de la Grâce. Si ces deux étapes de l’œuvre n’étaient pas liées, alors pourquoi la crucifixion n’est-elle pas répétée à cette étape ? Pourquoi ne supporté-Je pas les péchés de l’homme, mais, au lieu de cela, viens-Je juger et châtier l’homme directement ? Si Mon œuvre consistant à juger et à châtier l’homme et le fait que Je vienne maintenant sans avoir été conçu du Saint-Esprit n’avaient pas suivi la crucifixion, alors Je n’aurais pas été apte à juger et à châtier l’homme. C’est précisément parce que Je ne forme qu’un avec Jésus que Je viens directement pour châtier et juger l’homme. L’œuvre à cette étape est entièrement bâtie sur l’œuvre de l’étape précédente. C’est pourquoi seule une œuvre de ce genre peut amener l’homme, pas à pas, au salut. Jésus et Moi venons d’un seul Esprit. Même si Nous ne sommes pas liés dans Nos chairs, Nos Esprits ne forment qu’un ; même si le contenu de ce que Nous faisons et l’œuvre que Nous assumons ne sont pas identiques, Nous sommes semblables en essence ; nos chairs revêtent des apparences différentes, mais cela est dû au changement d’ère et aux exigences différentes de Notre œuvre ; Nos ministères ne sont pas similaires, donc l’œuvre que Nous façonnons et le tempérament que Nous révélons à l’homme sont également différents. C’est la raison pour laquelle ce que l’homme voit et comprend en ce jour est différent de ce qu’il en était dans le passé ; il en est ainsi en raison du changement d’ère. Car malgré toutes les différences de genre et d’apparence de Leurs chairs, et bien qu’Ils ne proviennent pas de la même famille, encore moins de la même période, Leurs Esprits ne forment pourtant qu’un. Car bien que Leurs chairs ne partagent ni lien du sang ni lien de parenté quels qu’ils soient, on ne peut nier qu’Ils sont l’incarnation de Dieu à deux époques différentes. Le fait qu’Ils soient les chairs incarnées de Dieu est une vérité irréfutable, même s’Ils ne sont pas de la même lignée et ne partagent pas un langage humain commun (l’un était un homme qui parlait la langue des Juifs et l’autre une femme qui parle exclusivement le chinois). C’est pour ces raisons qu’Ils ont vécu dans des pays différents pour réaliser l’œuvre qu’il incombe à chacun de réaliser, et aussi à des époques différentes. Bien qu’Ils soient le même Esprit, possèdent la même essence, il n’y a absolument pas de ressemblance parfaite dans l’enveloppe extérieure de Leurs chairs. Tout ce qu’Ils partagent est la même humanité, mais en ce qui concerne l’apparence de Leurs chairs et les circonstances de Leur naissance, Ils sont différents. Ces éléments n’ont pas d’impact sur Leur œuvre respective ou sur la connaissance qu’a l’homme à Leur sujet, car en fin de compte, Ils sont le même Esprit et personne ne peut Les séparer. Même s’Ils ne sont pas liés par le sang, Leurs êtres entiers sont pris en charge par Leurs Esprits, ce qui leur assigne une œuvre différente à des périodes différentes et assigne Leurs Chairs à des lignées différentes. L’Esprit de l’Éternel n’est pas le père de l’Esprit de Jésus et l’Esprit de Jésus n’est pas le fils de l’Esprit de l’Éternel. Ils ne sont qu’un seul et même Esprit. De même que le Dieu incarné d’aujourd’hui et Jésus. Bien qu’Ils ne soient pas lés par le sang, Ils ne sont qu’un ; c’est parce que Leurs Esprits ne sont qu’un. Dieu peut réaliser l’œuvre de miséricorde et de bonté, ainsi que celle du jugement juste et du châtiment de l’homme, et celle appelant la malédiction sur l’homme ; et finalement, Il peut réaliser l’œuvre de destruction du monde et de punition des méchants. Ne fait-Il pas tout cela Lui-même ? Cela n’est-il pas la toute-puissance de Dieu ? Il a été capable à la fois de promulguer des lois pour l’homme et de lui édicter des commandements, et Il a aussi été capable de guider les premiers Israélites à vivre leur vie sur terre et de les aider à construire le temple et les autels, retenant tous les Israélites sous Sa domination. En S’appuyant sur Son autorité, Il a vécu sur terre avec le peuple d’Israël pendant deux mille ans. Les Israélites n’ont pas osé se rebeller contre Lui ; tous ont révéré l’Éternel et ont observé Ses commandements. C’était l’œuvre qui a été réalisée en S’appuyant sur Son autorité et Sa toute-puissance. Alors, pendant l’ère de la Grâce, Jésus est venu pour racheter l’ensemble de l’humanité déchue (et pas seulement les Israélites). Il a montré miséricorde et bonté envers l’homme. Le Jésus que l’homme a vu à l’ère de la Grâce était plein de bonté et était toujours aimant envers l’homme, car Il était venu pour sauver l’humanité du péché. Il a été capable de pardonner aux hommes leurs péchés jusqu’à ce que Sa crucifixion rachète complètement l’humanité du péché. Pendant cette période, Dieu est apparu devant l’homme avec miséricorde et bonté ; c’est-à-dire qu’Il est devenu un sacrifice d’expiation pour l’homme et a été crucifié pour les péchés de l’homme afin qu’il soit pardonné pour l’éternité. Il était miséricordieux, compatissant, constant et aimant. Et tous ceux qui ont suivi Jésus à l’ère de la Grâce ont cherché à être constants et aimants en toutes choses. Ils ont souffert pendant longtemps, mais n’ont jamais répliqué même lorsqu’ils étaient battus, maudits ou lapidés. Mais il ne peut plus en être ainsi pendant l’étape finale. De la même façon, même si Leurs Esprits étaient un, l’œuvre de Jésus et l’œuvre de l’Éternel n’étaient pas entièrement identiques. L’œuvre de l’Éternel n’avait pas pour but de mettre fin à l’ère, mais de la guider, introduisant la vie de l’homme sur terre. Cependant, l’œuvre actuellement en cours est la conquête de ceux qui, dans les nations païennes, ont été profondément corrompus, et de guider non pas seulement les élus de Dieu en Chine, mais l’univers entier et toute l’humanité. Il peut te sembler que cette œuvre n’est réalisée qu’en Chine, mais en fait, elle a déjà commencé à se répandre à l’étranger. Comment se fait-il que les étrangers cherchent constamment le vrai chemin ? La raison en est que l’Esprit a déjà commencé l’œuvre et les paroles qui sont actuellement prononcées S’adressent aux gens à travers tout l’univers. De cette façon, la moitié de l’œuvre est déjà en cours. Depuis la création du monde jusqu’à ce jour, l’Esprit de Dieu a mis en marche cette grande œuvre et, de plus, a réalisé différentes œuvres au cours de différentes ères et dans différentes nations. Les personnes de chaque ère voient en Lui un tempérament différent qui est naturellement révélé à travers les différentes œuvres qu’Il réalise. Il est Dieu, plein de miséricorde et de bonté ; Il est le sacrifice d’expiation pour l’homme et le berger de l’homme ; mais Il est aussi le jugement, le châtiment et la malédiction de l’homme. Il a pu conduire l’homme à vivre sur terre pendant deux mille ans et Il a pu aussi racheter du péché l’humanité corrompue. Aujourd’hui, Il est aussi capable de conquérir l’humanité qui ne Le connaît pas et de la faire se prosterner sous Sa domination, de sorte que tous se soumettent à Lui entièrement. Finalement, Il consumera tout ce qui est Souillé et injuste dans les hommes à travers l’univers, pour leur montrer qu’Il n’est pas seulement un Dieu miséricordieux et aimant, pas seulement un Dieu de sagesse et de merveilles, pas seulement un Dieu saint, mais encore davantage, un Dieu qui juge l’homme. Envers les méchants de l’humanité, Il est flamme, jugement et punition ; envers ceux qui doivent être rendus parfaits, Il est tribulation, épurement et épreuve, ainsi que réconfort, nourriture, provision de paroles, traitement et émondage. Et envers ceux qui sont éliminés, Il est punition et aussi rétribution. Dis-moi, Dieu n’est-Il pas tout-puissant ? Il est capable de toutes les œuvres possibles, pas seulement la crucifixion comme tu l’as imaginé. Tu as une image trop piètre de Dieu ! Penses-tu que tout ce qu’Il puisse faire c’est de racheter l’humanité entière à travers Sa crucifixion et rien d’autre ? Et ensuite, tu Le suivras jusqu’au ciel pour goûter au fruit de l’arbre de vie et boire au fleuve de vie ?… Cela serait-il aussi simple ? Dis-Moi, qu’as-tu accompli ? As-tu la vie de Jésus ? En effet, tu as été racheté par Lui, mais la crucifixion était l’œuvre de Jésus Lui-même. Quel devoir as-tu accompli en tant qu’homme ? Ta pitié n’est qu’apparente, mais tu ne comprends pas Sa voie. Est-ce ainsi que tu Le manifestes ? Si tu n’as pas atteint la vie de Dieu ou vu l’intégralité de Son tempérament juste, alors tu ne peux pas prétendre être quelqu’un qui a la vie et tu n’es pas digne de franchir la porte du royaume des cieux.
Dieu est non seulement un Esprit, Il peut aussi devenir chair ; Il est, de plus, un corps de gloire. Jésus, bien que vous ne L’ayez pas vu, a été attesté par les Israélites, c’est-à-dire les Juifs de l’époque. Au départ, Il était un corps de chair, mais après Sa crucifixion, Il est devenu un corps de gloire. Il est l’Esprit qui englobe tout et peut œuvrer en tout lieu. Il peut être l’Éternel ou Jésus ou Le Messie ; finalement, Il peut aussi devenir Dieu Tout-Puissant. Il est la justice, le jugement et le châtiment ; Il est la malédiction et la colère ; mais Il est aussi la miséricorde et la bonté. Toute l’œuvre qu’Il a réalisée est en mesure de Le représenter. Quel genre de Dieu dis-tu qu’Il est ? Tu ne peux pas l’expliquer. Tout ce que tu peux dire, c’est la chose suivante : « Quant à savoir quel genre de Dieu Il est, Je suis incapable de l’expliquer. » N’en conclus pas que Dieu est à jamais un Dieu de miséricorde et de bonté, simplement parce qu’Il a réalisé l’œuvre de rédemption en une étape. Peux-tu être certain qu’Il n’est qu’un Dieu miséricordieux et aimant ? S’Il est simplement un Dieu miséricordieux et aimant, pourquoi mettra-t-Il un terme à l’ère dans les derniers jours ? Pourquoi enverra-t-Il tant de calamités ? D’après les notions et les pensées des gens, Dieu devrait être miséricordieux et aimant jusqu’au bout, de sorte que les membres de l’humanité soient sauvés jusqu’au dernier. Mais pourquoi, aux derniers jours, envoie-t-Il de si grandes calamités, comme des tremblements de terre, des épidémies et des famines, pour détruire cette humanité mauvaise qui considère Dieu comme son ennemi ? Pourquoi laisse-t-Il l’homme souffrir ces calamités ? Quant à savoir quel genre de Dieu Il est, nul d’entre vous n’ose le dire et personne n’est capable de l’expliquer. Peux-tu être certain qu’Il est l’Esprit ? Oses-tu dire qu’Il n’est autre que la chair de Jésus ? Et oses-tu dire qu’Il est un Dieu qui sera à jamais crucifié à cause de l’homme ?
Source : L’Église de Dieu Tout-Puissant
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